Appartement de Gabrielle

Gaby ferma les yeux et se mordit la lèvre sous le douce caresse de Cameron. De petits gémissements de plaisir s'échapper de temps à autre de ses lèvres.

"Cam..."

Elle se cambra sous la montée du plaisir et elle l'attira à elle pour un baiser passionné tout en faisant descendre ses mains le long du torse de Cameron et elle caressa doucement la bosse qui s'était formée sous le caleçon.

Cameron gémit tendrement à ce contact, mais entre le bruit de tissu froissé et des lèvres qui se collaient et décolaient, ca parut comme un murmure. L'exitatio était à son comble pour le militaire, il dut se forcer pour ne pas jouir au simple contact de sa dulcinée, qui était dans le même étant que lui. Une main taquine se fraya un chemin en partant de l'épaule pour aller se loger dans la chaleur de l'intimité déjà bien rempli de désir. Après quelques doux va et vient, il pénetra en elle un doigt, lui montrant qu'il voulait un peu accélérer. Il rajouta un deuxième avant d'entamer un petit vas et vient avec, sans jamais cesser les baisers entre eux.

Gabrielle se mordit la lèvre, Cameron savait exactement comment la caresser. Elle avait fait passer ses main dans le boxer du militaire, caressant d'une main son sexe en un lent va et vient et de l'utre flattant doucement l'autre aprtie du service trois piéces...Elle gémit lorsquil introduit deux doigts en elle et passa ses jambes autour de lui.

"Cam...prends moi...maintenant..."

Carson sourit contre les lèvres de Gabrielle et retira sa doigts pour les débarasser de leur dernier vêtements. Cameron prit dans son pantalon jeté non lloin un préservatif, l'enfila et se placa entre les jambes de Gabrielle. Il frotta le bout de son sexe contre l'intimité de la jeune femme avant de la pénétrer doucement, en se prenant le temps. Quand il fut en elle, il attendit qu'elle se détende, qu'elle s'accoutume à son intrusion. Cameron l'embrassa tendrement tout en la caressant d'une main, tendrement, il voulait faire perdurer aussi longtemps que possible leur moment intime, mais n'étant qu'un homme, il succomba au délice du plaisir et commença à se mouvoir en sa compagne, d'abord doucement, lentement, puis au fur et à mesure qu'il sentait son sexe pulsait dans cet étau humide et chaud, si étroit pour son cerveau embrumé par les prépices de la jouissance, il augmenta la force de ses coups, qui devinrent aussi très irrégulier, offrant à Gabrielle des surprises. Il se retira un instant pour s'enfoncer en elle, plus profondément et après un long baiser il reprit ses coups de reins.